L’an 1 du Gouvernement Suminwa : le numérique et la diplomatie au top

1048 31

Sous l’impulsion dynamique de la Première ministre Judith Suminwa, la République Démocratique du Congo (RDC) connaît une année marquée par des avancées majeures dans les domaines économique, diplomatique et numérique. Si la stabilisation macroéconomique et l’amélioration du pouvoir d’achat ont déjà forgé sa réputation, c’est désormais sur la scène internationale et dans la révolution digitale que le leadership de Suminwa se distingue.

Le gouvernement Suminwa a inscrit la RDC au cœur des enjeux géopolitiques mondiaux. Preuve de ce succès retentissant : le pays a remporté un doublé historique aux Nations Unies. Élue vice-présidente de la prochaine Assemblée générale de l’ONU et membre non permanent du Conseil de sécurité, la RDC a confirmé son retour en force dans les arènes décisionnelles.

Ces victoires diplomatiques, saluées par le président Félix Tshisekedi, consacrent une stratégie ambitieuse portée par Suminwa. Après des années d’effacement relatif, Kinshasa s’impose désormais comme un acteur incontournable, capable d’influencer les débats sur la paix, la sécurité et le développement en Afrique et au-delà. Autre pilier de cette année Suminwa : la transformation numérique. Le gouvernement a accéléré les réformes pour faire du secteur un moteur d’inclusion et de croissance. Grâce à des investissements ciblés dans les infrastructures et la formation, l’accès au haut débit s’est étendu, tandis que des startups locales émergent avec le soutien de l’État.

L’ambition ? Faire de la RDC un hub technologique régional. Des projets comme la digitalisation des services publics ou la cybersécurité illustrent cette volonté d’allier innovation et souveraineté. « Le numérique n’est pas un luxe, c’est un droit et un outil de développement », a martelé la cheffe du gouvernement lors du récent Forum sur l’économie digitale.

Au-delà de ces secteurs phares, l’action de Suminwa se caractérise par une gestion rigoureuse et inclusive. Les observateurs notent une meilleure coordination entre les ministères et une priorisation des dossiers stratégiques.

«En un an, Suminwa a redonné confiance aux Congolais et au monde envers la RDC. Son pragmatisme et sa vision portent leurs fruits », analyse un expert économique basé à Lubumbashi.

Alors que son gouvernement entre dans sa deuxième année, les attentes restent élevées, mais les résultats parlent d’eux-mêmes : sous son impulsion, la RDC renoue avec l’influence et l’innovation.

Ci-dessous, les volets diplomatie numérique peints par le service presse de la Primature.

Econews

Une année à la Primature : la méthode Suminwa porte la diplomatie congolaise au firmament

1048 32

Un an après l’investiture de son Gouvernement le 12 juin 2024, la Première Ministre Judith Suminwa a réussi un tour de force diplomatique : replacer la République Démocratique du Congo au cœur des préoccupations internationales, imposer une diplomatie de souveraineté et initier des réformes profondes du ministère des Affaires étrangères.

Une diplomatie de combat pour la paix et la justice

Dès son investiture, Judith Suminwa a fixé un cap clair : faire entendre la voix du peuple congolais dans les arènes internationales et faire reconnaître l’agression dont le pays est victime, en particulier dans l’Est. Cette vision s’est traduite par une diplomatie plus offensive, plus structurée et alignée avec les intérêts stratégiques de la RDC.

Il sied de préciser que la RDC a récolté plusieurs succès au front diplomatique grâce à la participation physique de Judith Suminwa, notamment au sommet de l’Union Africaine à Addis-Abeba, au sommet EAC-SADC à Dar-es-Salam et au Conseil des droits de l’homme à Genève

Sous sa coordination et l’impulsion du Président de la République, la ministre des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, a conduit un plaidoyer vigoureux sur la scène internationale. Cette offensive a abouti à un tournant diplomatique majeur: l’adoption de la résolution 2773 du Conseil de sécurité de l’ONU, qui reconnaît explicitement les violations des droits humains et du droit international commises en RDC, avec des allusions claires à l’implication du Rwanda.

«Le conflit en RDC n’est pas un simple problème africain : c’est une crise majeure du droit international », a martelé la ministre, soutenue par la cheffe du gouvernement.

Une victoire diplomatique saluée comme un réalignement historique des positions internationales et un pas décisif vers la fin de l’impunité dans la région des Grands Lacs.

L’élection de la République Démocratique du Congo comme membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies pour le mandat 2026-2027, marque également une nouvelle étape dans l’engagement de la RDC en faveur de la paix, de la sécurité et du multilatéralisme. Un travail remarquable du Gouvernement Suminwa.

Moderniser la diplomatie, servir les citoyens

Sous l’impulsion de Judith Suminwa, la diplomatie congolaise ne s’est pas contentée d’occuper les tribunes internationales. Elle s’est également transformée de l’intérieur.

Une task force interinstitutionnelle, réunissant les ministères des Affaires étrangères, des Finances et du Budget, a été créée pour fluidifier les opérations diplomatiques, assurer le paiement régulier des diplomates à l’étranger, et mieux coordonner les actions de paix et de coopération.

Le ministère a aussi lancé un vaste chantier de modernisation, marqué notamment par : la réduction du coût du passeport de 99 à 75 USD, suppression des paiements informels, le paiement désormais exclusivement en ligne ou dans les banques, pour plus de transparence, le lancement du visa électronique (e-visa) afin de sécuriser et accélérer les démarches pour les visiteurs étrangers.

Ces réformes ont été saluées à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, car elles marquent une rupture avec les pratiques opaques du passé.

Autre priorité chère à Judith Suminwa : rapprocher la diplomatie des Congolais de l’étranger. Sous son leadership, le gouvernement a instauré une carte consulaire biométrique uniformisée, facilitant l’accès aux services consulaires dans les pays d’accueil.

Ce geste politique fort a été interprété comme une reconnaissance du rôle stratégique de la diaspora, souvent oubliée, mais dont les contributions économiques, sociales et politiques restent cruciales pour le développement du pays.

Une année de reconquête diplomatique

L’année 2024–2025 aura été celle de la reconquête du respect et de la crédibilité diplomatique de la RDC. Ce succès, incontestablement, porte la marque de Judith Suminwa : une femme de dossiers, d’engagement et de résultats.

En donnant à la diplomatie congolaise une nouvelle doctrine fondée sur la dignité, l’efficacité et la transparence, elle aura non seulement réhabilité l’image du pays à l’extérieur, mais aussi rapproché les institutions diplomatiques de ses citoyens.

À l’aube de la deuxième année de son mandat, Judith Suminwa se présente plus que jamais comme la cheffe d’un gouvernement de rupture, de cohérence et d’autorité, capable de tenir tête aux puissances régionales et de faire rayonner la voix congolaise dans le concert des nations.

Numérique en RDC : le bilan Suminwa parle, chiffres et résultats

En une seule année, le gouvernement dirigé par Judith Suminwa Tuluka a donné une impulsion inédite à la transformation numérique de la République démocratique du Congo. Avec une vision claire, des financements conséquents et des résultats déjà mesurables, la Première ministre a fait du numérique un levier stratégique pour la modernisation du pays, l’inclusion sociale, et la croissance économique.

500 millions USD pour basculer dans l’économie numérique

Le Gouvernement a mis sur orbite un méga projet de transformation numérique de 500 millions USD, financé avec l’appui de la Banque mondiale et de l’Agence Française de Développement. Ce projet structurant prévoit l’installation de 10.000 kilomètres de fibre optique, le déploiement d’un Réseau National du Gouvernement et la création d’un Cloud souverain pour l’hébergement sécurisé des données publiques.

À terme, ce chantier est censé générer 3.000 emplois directs et contribuer à hauteur de 2,5/ % au PIB national. Des investissements sont également orientés vers la création de services numériques publics et privés, ainsi que le renforcement des capacités dans les universités, afin de former les talents numériques de demain.

Une connectivité étendue à tout le territoire

Dans une démarche inclusive, le gouvernement Suminwa a lancé un plan de promotion de la connectivité dans les zones rurales et périurbaines via le Fonds de Service Universel, doté de 15 millions USD pour 2025. Un arrêté interministériel entre les ministères des Finances et du Numérique fixe un plan d’allocation progressif des fonds collectés auprès des opérateurs télécoms.

L’arrivée très attendue de Starlink sur le marché congolais constitue une autre avancée majeure. Grâce à ses services satellitaires, l’internet haut débit devient accessible sur 100/ % du territoire, même dans les zones les plus reculées. Une aubaine pour : la numérisation des écoles et hôpitaux, le développement de la télémédecine, l’émergence d’un gouvernement électronique et l’amélioration de la productivité dans les secteurs comme les mines, le commerce ou la logistique.

Cette démocratisation de la connectivité pourrait induire une croissance supplémentaire de 1,5 % du PIB, soit plus de 700 millions USD à moyen terme, selon les projections officielles.

Inclusion financière : la révolution Mosolo

Sur le front de la finance numérique, le gouvernement a opérationnalisé le réseau Mosolo, plateforme d’interopérabilité qui fluidifie désormais les échanges entre : les banques commerciales, les services de monnaie mobile (Airtel Money, Orange Money, M-Pesa, Afrimoney) et les institutions de microfinance comme FINCA.

ectif : rendre les paiements numériques interconnectés, plus simples, plus rapides, plus inclusifs. Cette réforme révolutionnaire facilite le quotidien de millions de Congolais et participe à la promotion du franc congolais, en appui à la stratégie de dédollarisation nationale.

Selon les experts, l’impact immédiat du réseau Mosolo est estimé à plus de 1 % du PIB, soit 640 millions USD injectés dans l’économie nationale.

Une volonté politique claire, un leadership affirmé

La réussite de ces réformes tient en grande partie à la vision ferme et moderne de la Première ministre Judith Suminwa, qui a fait du numérique une priorité nationale dès son arrivée à la tête du gouvernement.

«La transformation numérique n’est pas une option. C’est une obligation pour rendre notre économie plus compétitive, notre administration plus transparente, et nos services plus accessibles à tous», avait-elle déclaré en février 2025 lors du Forum national sur le numérique.

En seulement 12 mois, le Gouvernement Suminwa a non seulement posé les bases d’une société numérique congolaise, mais il a aussi ouvert des perspectives économiques inédites. Fibre optique, cloud souverain, interopérabilité bancaire, couverture satellitaire totale : des projets concrets qui positionnent la RDC dans la course à l’innovation sur le continent.

Une révolution numérique est en marche. Et elle porte la signature d’une femme de vision, Judith Suminwa, dont le leadership dans ce secteur stratégique pourrait façonner durablement le visage de la RDC de demain.

Related Post

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Verified by MonsterInsights