La récente attaque contre le camp sud-africain à Masisi, quartier général des militaires déployés dans le cadre de la Force de la SADC, continue de susciter des réactions et de nourrir les débats. L’onde de choc de cette attaque s’est propagée jusqu’en Afrique du Sud, où l’opposition critique vivement le président Cyril Ramaphosa pour avoir, selon ses principaux leaders, exposé leurs soldats au danger dans l’Est congolais. L’incident, marqué par le largage d’un obus sur le camp sud-africain, a officiellement entraîné la perte de deux vies et a fait plusieurs blessés, suscitant une profonde consternation au sein de l’armée sud-africaine.
Les principaux leaders de l’opposition ont dénoncé l’exposition de leurs soldats au danger, qualifiant l’incident de tragédie évitable. Cette critique souligne les tensions politiques et les interrogations quant à la décision de participer à la mission de la Force de la SADC dans la région.
L’attaque contre le camp sud-africain à Goma a entraîné la perte tragique de deux vies et a fait plusieurs blessés parmi les soldats déployés dans le cadre de la mission de la SADC. Cette perte humaine a suscité une profonde consternation au sein de l’armée sud-africaine et a renforcé les préoccupations quant à la sécurité des troupes engagées dans des missions à haut risque. L’incident a également soulevé des questions sur les mesures de sécurité et la protection des forces déployées dans des zones sensibles.
Face à cette tragédie, l’armée sud-africaine a exprimé sa désapprobation dans un communiqué officiel, sans fournir de commentaire supplémentaire. Cette réaction témoigne de la gravité de l’incident et de la nécessité d’établir les circonstances exactes de l’attaque. L’armée sud-africaine cherche à comprendre l’origine de l’engin explosif et à prendre les mesures appropriées pour garantir la sécurité de ses troupes déployées dans des missions internationales.
Une enquête est en cours pour déterminer l’origine exacte de l’obus qui a été largué sur le camp sud-africain à Goma. Cette démarche vise à éclaircir les circonstances de l’attaque et à identifier les responsables de cet acte violent. La recherche de la vérité est essentielle pour faire la lumière sur cet incident tragique et pour garantir la sécurité des forces internationales déployées dans des zones de conflit.
Pour l’instant, l’enquête en cours vise à établir les faits et à prendre les mesures nécessaires pour assurer la protection des forces engagées dans des opérations internationales.
La grande crainte est de voir enfin l’Afrique du Sud prendre le devant dans la guerre de l’Est. Ça sera alors une confrontation, grandeur nature, entre l’Occident, soutien du Rwanda, et l’Afrique du Sud qui pourrait tout aussi mobiliser les pays de Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Iran, …) derrière son action militaire.
Econews
