Architecte de la sous-traitance avec l’ARSP : Miguel Kashal sous le feu des multinationales véreuses

Précurseur d’une sous-traitance au service des Congolais, Miguel Kashal, Directeur général de l’ARSP (Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé), Miguel Kashal Katembe, est dans le viseur des multinationales véreuses qui n’acceptent pas que de Congolais profitent des avantages que leur confère la loi sur la sous-traitance.

Dans un contexte où la sous-traitance est sou-vent perçue comme un instrument de domination économique, Miguel Kashal Katembe, directeur général de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP), se positionne comme un fervent défenseur des intérêts congolais. À la tête de l’ARSP, Kashal œuvre pour garantir que les opportunités offertes par la nouvelle loi sur la sous-traitance profitent pleinement aux Congolais. Cependant, son engagement ne vient pas sans risques. Il se retrouve désormais dans le collimateur des multinationales véreuses, qui voient d’un mauvais œil l’application rigoureuse de cette législation.

La loi sur la sous-traitance, mise en place pour favoriser l’intégration des acteurs locaux dans un marché souvent dominé par des entreprises étrangères, constitue une avancée majeure pour l’économie congolaise. Dans ce cadre, Miguel Kashal a développé une stratégie qui vise à encadrer la sous-traitance, en veillant à ce que les entreprises congolaises puissent bénéficier des contrats miroités souvent attribués à des firmes étrangères. Selon lui, «la sous-traitance doit être un levier pour le développement économique et l’emploi en République Démocratique du Congo. Nous avons les ressources humaines et le savoir-faire; il est temps que ces talents soient reconnus ».

Malgré ces nobles intentions, les multinationales ne voient pas d’un bon œil cette régulation. Certaines entreprises, habituées à contourner les lois locales pour maximiser leurs profits, commencent à exercer des pressions sur l’ARSP pour adoucir ses exigences. « Il est inacceptable que des intérêts étrangers tentent d’étouffer notre potentiel. Nous avons le droit de privilégier notre propre développement », martèle Miguel Kashal, déterminé à poursuivre sa mission en dépit des menaces.

ONGS ET MEDIAS INSTRUMENTALISES 

Alors que la bataille pour l’indépendance économique, insufflée par le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à travers la sous-traitance, prend des proportions satisfaisantes pour tout Congolais en attente des résultats probants dans le domaine de l’entrepreneuriat, des informations dignes de confiance rapportent que certaines multinationales mécontentes de perdre l’emprise sur le secteur qu’elle contrôlait indûment veulent bloquer les succès engrangés par l’Autorité de régulation de la Sous-traitance dans le secteur privé sous la houlette de son Directeur général, Miguel Kashal Katemb.

Mécontents également du ralliement d’autres géants miniers au combat porté par le Chef de l’État, ces multinationales bien connues et qui seront bientôt démasquées, tentent de saboter les efforts de l’ARSP qui portent déjà des fruits.

Ainsi, certains mouvements des jeunes sont recrutés pour torpiller l’action du DG Miguel Kashal Katemb qui continue à matérialiser la vision du Président de la République consistant à donner de l’envergure aux entrepreneurs congolais et à mettre fin au phénomène des actionnaires figurants dans les entreprises principales, tout en encourageant même l’association entre congolais et expatriés – pourvu la répartition du capital soit respectée, au regard de la loi.

Désireux de continuer leur maffia perpétuelle en prenant à la fois la place des sociétés principales et des sous-traitants, certaines entreprises multinationales trouvent en la personne du DG Miguel Kashal un élément gênant à écarter à tout prix du secteur de la sous-traitance peu importe le prix à payer. Il est désormais l’homme à abattre.

Le modus operandi de ces ennemis de l’indépendance économique, qui agissent sous forme des lobbyistes dangereux, est de se servir d’autres Congolais, pour la plupart des jeunes, des politiciens et des ONGS, de la même manière que le Rwanda se sert de Corneille Nangaa comme une couverture de ses attaques contre la souveraineté de la RDC.

Sans gêne, ces multinationales, qui ne veulent pas suivre le bon exemple de celles qui ont déjà adhéré à la vision du Chef de l’État en matière de sous-traitance à travers une application sans faille de la loi en la matière, financent leurs suppôts pour tenir des discours dans les médias de leur obédience en vue de bloquer toutes les grandes actions de l’ARSP.

Désormais, l’ARSP est cette poule aux œufs d’or à protéger à tout prix pour garantir l’émergence d’une classe moyenne en RDC. La population congolaise devra donc jouer son rôle de gardienne de son combat pour l’indépendance économique en dénonçant toute initiative malveillante portée contre les institutions de l’État et les établissements publics engagés dans la bataille de l’émergence de la vraie classe moyenne congolaise. Cette même population devra aussi se ranger derrière le Président de la République qui lui avait promis, durant toute la campagne électorale des élections générales de décembre 2023, qu’il allait rendre à la jeunesse congolaise la dignité par la création des emplois dignes, en s’appuyant sur les dispositions prévues dans la loi sur la sous-traitance.

A cet égard, l’ARSP demeure un levier important du Président Félix Tshisekedi pour remettre aux Congolais la pleine jouissance de la chaîne de valeur, restée trop  longtemps entre les mains des personnes non revêtues de la qualité légale de sous-traitant.

EVEIL PATRIOTIQUE

L’ARSP, sous la direction de Miguel Kashal, a déjà mis en place plusieurs mécanismes visant à aider les entreprises congolaises à se structurer et à répondre aux exigences des marchés. Des formations, des conseils juridiques et un accompagnement personnalisé sont offerts pour s’assurer que les acteurs locaux puissent s’imposer face à la concurrence internationale. Ces initiatives ont déjà porté leurs fruits, avec un nombre croissant de contrats confiés à des sous-traitants congolais.

Face à cette montée en puissance des lobbys étrangers, Miguel Kashal appelle à une solidarité nationale renforcée : « C’est une question de souveraineté. Nous devons protéger ce que nous avons et construire un avenir meilleur pour les générations à venir ».

Econews

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